
Depuis ses balbutiements, internet revêt une puissante dimension politique et des enjeux, aujourd’hui, plus vifs que jamais : transparence, liberté d’information, copyright, propriété intellectuelle, dépendance technologique, entre autres. Les « hackers » n’ont pas attendu Wikileaks et les révoltes arabes pour mettre les mains dans le cambouis politique. Souvent caricaturés comme des pirates informatiques asociaux, aux frontières de la légalité, les « mages du réseau » se perçoivent davantage comme des détourneurs ou des bidouilleurs. Ils forment en réalité une communauté infiniment complexe, dont les origines remontent aux années 50?60.
A présent, ils tendent à s’impliquer de plus en plus dans les affaires citoyennes, et ce, à l’heure où les gouvernements désirent de plus en plus réglementer la toile. Des initiatives se dégagent en Allemagne, par exemple, avec le Chaos Computer Club, reconnu par le gouvernement comme une source d’avis fiable sur les questions technologiques. Des « hackerspaces », lieu communautaire où les hackers triturent la matière, fleurissent à travers l’Europe. Dans une cinquantaine de pays, des Partis Pirates se sont formés pour affronter les urnes avec un programme trempé dans la philosophie originelle du net. Geek Politics part à la rencontre de ces citoyens capables de maîtriser les arcanes d’une toile devenue omniprésente.
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TEASER
TEASER #2
TEASER #3
Un chouette documentaire transmédia à découvrir prochainement sur vos écrans.
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Le tournage est pratiquement terminé, il reste encore l’étape du portage à l’état web-documentaire.
On compte sur vous 🙂
Crédits / Staff :
- Quentin Noirfalisse : Journaliste, auteur et réalisateur. Le cerveau de Geek Politics.
- Adrien Kaempf : Cameraman, monteur.
- Antoine Sanchez : Graphiste, preneur de son, un peu journaliste.
- Maximilien Charlier : Caméra #2, producteur, et surtout en charge du budget
Source : Davanac