500 millions de putes, et moi et moi et moi…
[EXTRAIT] Facebook – et les réseaux sociaux par élargissement – ont largement prouvé au cours de la dernière décennie qu’ils avaient une prise sans cesse croissante sur nos existences. Au-delà des traditionnels relous ressurgis du passé qui se révèlent être parfois de putains de casse-couilles, les implications massives sur le réel peuvent être surprenantes. Les Anglais – jamais les derniers en matière d’évolutions sociales foireuses – ont ainsi pu constater un étonnant retour des cas de syphilis directement imputables à des actes de fornication post-drague facebookienne ou s’insurger contre le mec qui vendait de l’alcool à domicile à des mineurs via un truc aussi con que sa page de profil.
Mais à une échelle plus globale, Facebook s’est surtout révélé être un fantastique facteur de foutage de merde dans les mariages. C’est l’histoire d’une femme qui retrouve son premier amant de jeunesse, se prend à croire qu’elle a de nouveau seize ans et finit irrémédiablement par foutre en l’air son couple, sous prétexte d’avoir retrouvé des sensations de séduction et de baise vestiges de l’époque où ses seins ne tombaient pas encore jusqu’au nombril. Pourtant, au-delà de tout le pognon inespéré pour les avocats spécialisés en droit de la famille, les réseaux sociaux pourraient surtout préfigurer une refonte d’une partie de nos normes sociales à une vitesse telle que vous ne vous étiez même pas rendu compte qu’on est déjà en plein dedans….
par Loïc H. Rechi
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